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INSIDE BURKINA
pays des hommes intègres
ÉCHAPPÉES BELLE - FRANCE 5 - 2015
pays des hommes intègres
C’est au Burkina Faso que nous retrouvons Sophie. Avec cette fameuse tradition du faux départ, les arts du bronze de la capitale et son théâtre. Nous verrons Simon Nacoulma un altruiste qui dépense son énergie pour éduquer les enfants. Nous serons bercé par le balafon l’instrument emblème du pays. Sophie se rendra au lac Tenfréla pour tenter d’observer les hippopotames.
LE BURKINA FASO EN CAPITALE
Ouagadougou est la capitale administrative et la plus grande ville du Burkina Faso, plus connue sous le nom de Haute-Volta jusqu’en août 1984.
Elle reste le plus important pôle économique du pays, mais aussi la capitale du cinéma africain où est organisé le Festival Panafricain du Cinéma et de la Télévision de Ouagadougou (FESPACO). Ouagadougou compte environ 2 millions d’habitants (estimation 2012). Ouagadougou est fondée à l’époque de Kombemtinga, au XIè siècle par les Nyonyonsé. En 1441, elle devient la capitale de l’empire mossi et le lieu de résidence des empereurs en 1681. Elle prend le titre de capitale de la Haute Volta dès 1919. Le chemin de fer est aménagé en 1954, ce qui permet à la ville de se développer considérablement dans le domaine économique. L’année 1958 est marquée par la proclamation de la République de Haute-Volta.Le 4 août 1984, la Haute-Volta devient le Burkina Faso mais Ouagadougou reste toujours la capitale du pays. Ouagadougou se situe au centre de Burkina Faso, au coeur d’une région agricole. La ville possède un grand lac (où sont disposés des barrages) et de nombreux cours d’eau. La ville de Ouagadougou dispose de nombreux sites touristiques à voir. Vous pouvez vous rendre au Musée National, au Musée de la Musique et au palais du Mogho Naaba pour découvrir l’architecture soudano-sahélienne.Les parcs valent également le détour comme le parc Tambi Kaboré ou le square Naba Koom.
C'EST PAS SORCIER - FRANCE 3 - 2013
Sur la route de Ouagadougou
Fred arrive à Ouagadogou et nous présente le Burkina Faso dont 80 % de la population vivent encore dans les campagnes. Nous verrons comment les femmes préparent les repas à l’extérieur de la maison, et quelles sont les ressources agricoles ou autres des villageois. Fred s’intéresse à la scolarisation des enfants et nous emmène dans une classe du primaire. Nous parlerons également du manque d’eau potable et de la désertification des sols.
la capitale économique
Deuxième ville du Burkina Faso par le nombre de ses habitants, capitale du pays (alors appelé Haute-Volta) jusqu’en 1947, Bobo-Dioulasso a pour origine le petit village de Sia, situé sur un promontoire entre deux marigots et agrandi par l’arrivée de commerçants dioula ; il fut transformé après sa conquête par les Français (1897), qui lui donnèrent en 1904 son nom actuel (la maison des Bobo et des Dioulas) : lotissement échelonné de quartiers autochtones, création d’une zone commerciale à l’ouest, de deux zones industrielles, d’un quartier résidentiel européen, où les bâtiments sont souvent de style néo-soudanais. Bobo-Dioulasso fut, jusqu’en 1954, le terminus de la voie ferrée Abidjan-Niger. L’activité de marché, très ancienne, reste primordiale (cola, tissus, bétail), mais la ville a souffert du départ à Ouagadougou des services administratifs centraux et du siège des grandes entreprises. Elle reste cependant le premier centre industriel de l’État, avec huileries (arachides, karité), savonnerie, égrenage du coton, brasserie, produits chimiques, fabrique de tôles ondulées, de chaussures en plastique, montage de cycles et de vélomoteurs. Du fait de la latitude et de la nature du sol, le problème de l’eau ne s’y pose pas.La population était de 521 000 hab. en 2007.
AFP - 2019
Bobo-Dioulasso, orpheline des touristes
Jadis, Bobo Dioulasso, ville du sud-ouest du Burkina Faso célèbre pour ses masques, ses balafons et ses batiks, attirait des milliers de touristes occidentaux venus voir la Grande mosquée, la gare, le marché. La perle touristique du pays est aujourd’hui délaissée par les voyageurs occidentaux en raison des attaques jihadistes récurrentes dans le pays.
140 ans et encore plus de spiritualité
Des murs en terre cuite de couleur ocre claire desquels émergent des piquets qui servent, vraisemblablement, à soutenir l’édifice, ainsi se présente au regard de ses visiteurs et des fidèles qui la fréquentent la mosquée de Dioulassoba dans la ville de Bobo-Dioulasso (Ouest du Burkina Faso). Ancienne de plus de 140 ans, la mosquée a su se préserver et garder son authenticité et n’a été que très légèrement modifiée selon les habitants de la ville. En effet, depuis sa construction, ni les piliers ni les murs n’ont subi de changements. Bâtie en terre cuite (Banco), la mosquée de Dioulassoba a des composantes en forme cône qui rappellent des pains de sucre et des murs modelés dans de la latérite (une roche rouge ou brune, qui se forme par altération des roches sous les climats tropicaux). Édifiée en plein centre de la ville de Bobo-Dioulasso, en face du quartier Kibédoué et de l’Hôtel de Ville, la mosquée brasse un nombre important de fidèles et de visiteurs. La mosquée est célèbre pour l’ambiance spirituelle et le sentiment de paix. Un sentiment d’apaisement gagne le visiteur dès qu’il franchit le seuil de la mosquée et nul ne peut affirmer si ce sentiment est dû à la lumière qui filtre à travers le toit et les ouvertures murale où à l’ambiance hautement spirituelle qui règne dans les lieux. De loin, la mosquée est visible par ses hauts minarets, trois au total dont un principal et deux secondaires et qui servent de lieux de retraites pour les imams qui viennent y passer des journées entières, voire cinq à 10 jours pour se consacrer à l’adoration de Dieu et préparer les messages à communiquer aux fidèles durant les prêches et les prières. . Entamée en 1880 par l’Almany Sidiki Sanou, la construction de la mosquée a pris dix années. En effet, en dépit d’une apparence simpliste, l’édifice est solidement bâti, il est soutenu à l’intérieur, par 42 piliers répartis sur 9 rangées. Des espaces spécifiques y sont dédiées aux femmes. Au Burkina environ 50% de la population est musulmane.
RADIO OMEGA - 2019
la Mosquée de Dioulassoba réhabilitée.
Une vidéo de Boureima Badini.
Les cascades de Karfiguèla se trouvent au sud-ouest du Burkina Faso et restent l’un des sites les plus touristiques du pays. L’érosion du vent et de l’eau y a façonné des “curiosités” naturelles, parmi lesquelles les dômes de Banfora, rochers et pics aux formes de visages, d’animaux, de cases, et les cascades de Karfiguéla. On arrive sur les lieux après avoir traversé des étendues de champs de canne à sucre. Depuis le village de Karfiguéla, il vous faudra trouver un guide pour vous rendre jusqu’au cascades. C’est obligatoire. Une belle allée de manguiers vous mènera aux chutes. Vous marcherez dans une végétation luxuriante jusqu’aux cascades et aux sommets de celles-ci. La vue sur le paysage alentour est magnifique. Vous pourrez aussi vous baigner dans l’une des nombreuses mares formées par les chutes. Autre site important non loin de là, le lac de Tengrela, réputé pour héberger des hippopotames. Autres attraits majeurs de la région, les pics de Sindou et les dômes de Fadèdougou. Encore plus loin se dressent les falaises de Niansoroni et de Néguéni : on peut y effectuer de belles promenades et les panoramas sont superbes !
culture dev - 2018
Les chutes de Banfora
Depuis le village de Karfiguéla, il vous faudra trouver un guide pour vous rendre jusqu’aux cascades. Une belle allée de manguiers vous mènera aux chutes. La vue sur le paysage alentour est magnifique. Vous pourrez aussi vous baigner dans l’une des nombreuses mares formées par les chutes. Ce site renferme trois vitrines qui sont, l’histoire, le savoir et la tradition.
UNE GALERIE D’ART EN PLEIN AIR
Tiébélé reste un petit village animiste prisé de voyageurs au Burkina Faso. Il attire de nombreux visiteurs rien que par l’architecture formidable de ses maisons. Beaucoup débarquent sur les lieux pour admirer la demeure royale de la bourgade qui demeure la plus immense et la plus impressionnante des peuples Kasséna. Figurez-vous que les femmes s’attellent à peindre à la main les concessions chaque année pour ainsi redonner une splendeur remarquable à la campagne. Vous verrez les cases se disposer les unes sur les autres étalant un plan unique et formidable. Située en contrebas d’une colline, la Cour royale forme un espace circulaire irrégulier d’environ 1,2 ha. Vous y observerez plusieurs éléments. Admirez par exemple le Pourou, une butte sacrée où sont enterrés les placentas des membres de la famille. Vous découvrirez le nabarê qui regroupe des pierres sacrées, le figuier rouge, la case du tribunal, l’autel et le cimetière des ancêtres. Ne perdez pas de vue les concessions divisées en 5 domaines correspondant aux princes, aux aînés, aux gardiens des tambours, aux portes — paroles et aux petits frères. Les habitations s’organisent autour d’une maison mère en forme de huit.
LES ÉMISSIONS CANAL+ AFRIQUE - 2019
RENDEZ-VOUS À TIÉBÉLÉ
un trésor pour les femmes BURKINABÉ
Le beurre de karité est un beurre végétal issu de l’arbre à Karité, un arbre très présent au Burkina Faso. Le « Butyrospermum parkii » ou « Vitellaria paradoxa » pousse uniquement à l’état sauvage dans les savanes arborées d’Afrique du centre et de l’ouest. Cet arbre peut vivre jusqu’à 300 ans et commence à produire des fruits à l’âge de 15 ans. La production moyenne est de 15 à 20 kg par arbre. Les fruits sont des noix ovoïdes à l’intérieur desquelles se trouve une amande blanchâtre très grasse qui donnera une substance comestible d’une texture semblable au beurre d’où son nom de beurre de karité. Le processus de transformation des fruits en beurre est long et fastidieux.
Les noix sont récoltées à maturité entre mi-juin et mi-septembre.
Au Burkina, le beurre de karité est consommé dans la cuisine traditionnelle. Il est également utilisé dans l’industrie du chocolat comme substitut au beurre de cacao. En europe, il est surtout connu pour ses propriétés cosmétiques en tant que hydratant et assouplissant de la peau. Il est exceptionnellement riche en vitamines (A, D, E et F) et en insaponifiables. De ce fait, il rentre aujourd’hui dans la composition de nombreux produits cosmétiques. Au Burkina Faso, le beurre de Karité est principalement produit par les femmes des régions rurales. Depuis une quinzaine d’années en effet, de nombreux regroupements de femmes ont commencé à produire, et à rentabiliser la fabrication du beurre de Karité notamment via l’exportation en raison de l’apparition des filières touristiques et équitables.
Radio Canada International - 2017
Plongeons dans le beurre de karité du Burkina Faso
FIN DU voyage en musique
Weedo (clip officiel)
Floby - 2019
SAGOKE (clip officiel)
Les Frères DIARRA - 2019